Scepticisme
Pyrrhon d'Élis
Pyrrhon d’Élis (vers 360-270 av. J.C.) est considéré comme le fondateur du scepticisme. Ils attaquèrent les dogmatiques, car pour eux ces gens prétendaient être parvenus à une vérité incontestable. Pour les sceptiques tous les arguments qui appuyaient ou refoutaient les doctrines philosophiques se valaient les uns les autres.
L’idée qui ressortait est : « peu importe la croyance de quelqu’un, celle-ci peut être réfute; donc, on ne peut éviter la frustration d’avoir tort simplement en ne croyant rien. »Les scepticismes avaient 2 principaux guides soit les apparences qui se réfère aux sensations et sentiment et les conventions ce qui se réfère aux traditions, lois et coutume de la société. (Pour plus d'information consultée Hergenhahn, chapitre 3, p.61-62.) |
Cynisme
Anthisthène
Antisthène (vers 445-365 av. J.C.) s’interrogea sur la valeur des quêtes intellectuelles. Il préconisait un retour à la nature et d’une vie dépourvu de tout besoin, de passion, et toute autre convention de la société. Selon lui, le Bonheur réside dans l’autosuffisance. Le cynisme est la recherché d’une vie naturelle, simple qu’on mène de façon autonome.
(Pour plus d'information consultée Hergenhahn, chapitre 3, p.62-63.) |
Diogène
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Diogène (vers 412-323 av. J.C.) fut un disciple d’Antisthène. Il rejetait toutes les conventions de la religion, des manières, des habituations, d’alimentation et des modes. Il a été surnommé Cynique ce qui veut dire comme un chien. Les cyniques dissent que les animaux représentent le meilleur modèle pour comprendre l’humain, car ils non pas de besoin naturel, n’on pas de religion et leurs besoins sont simple. Selon lui la religion est un obstacle au bonheur humain. Les cynismes encouragent l’amour libre et l’individualisme.
(Pour plus d'information consultée Hergenhahn, chapitre 3, p.62-63.) |